Jeudi 27 Janvier à 18h30
Espace d’arts plastiques Les Limbes,
7 rue Henri Barbusse
L’humanité a basculé dans l’ère des catastrophes globales. Partout sur la planète les forêts brûlent, les océans s’asphyxient, les espèces disparaissent. La sixième extinction de masse est en marche.
L’urgence commande l’élaboration d’une politique qui conjurerait la destruction généralisée de la vie : un communisme du
vivant.
Puisque la crise environnementale procède de la recherche effrénée du profit, toute écologie politique formulée en dehors de cet horizon est vouée à l’échec.
S’appuyant sur une lecture conjointe du marxisme et
des humanités environnementales, Paul
Guillibert défend une philosophie sociale de
la nature pour démontrer que la préservation
de la biosphère est devenue une condition
nécessaire à l’émancipation.
P.-S.
Paul Guillibert est docteur et enseignant en
philosophie. Il élabore une critique écologique
du capitalisme à partir d’une histoire
environnementale de la pensée marxiste.
Source: Lenumerozero.info