Le 25 mai 2016, à l’appel du plusieurs organisations et réseaux militants se réclamant de l’ « antiracisme politique », s’est tenu un meeting « contre l’escalade islamophobe et liberticide » et la « fuite en avant sécuritaire, militariste, raciste et ultralibérale » impulsées par le pouvoir en place. Le meeting a pris la forme d’un « procès public », au cours duquel les « accusé-e-s » avaient à répondre d’un « réquisitoire » à charge prononcé par Nacira Guénif-Souilamas, dans le rôle de « présidente du tribunal », avec l’aide d’Omar Slaouti, dans celui du « procureur général». Convoqué à la barre, Stathis Kouvélakis a eu à répondre de son « inaptitude à comprendre quoi que ce soit à l’universalisme français ».
01/06/2016 – 07:28
Source: