À la différence de la presse dominante « gavée d’aides publiques distribuées en dépit du bon sens », l’association Acrimed, qui explore depuis bientôt vingt ans - et en toute indépendance - les mécanismes médiatiques d’imposition d’un discours dominant dédié à la glorification du libéralisme économique, ne bénéficie d’aucune subvention. Pour que vive une critique, plus nécessaire que jamais, « des médias et de leurs chiens de garde » : il est urgent de la soutenir. C’est ce qu’expliquent ici deux de ses co-animateurs, Henri Maler et Julien Salingue.